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Déjà
une troisième parution
!
Par Guillaume Teasdale Tout
d’abord, bonjour à tous nos lecteurs et lectrices assidu(e)s. En effet, le
temps court, le semestre en est déjà à son dernier droit avec les examens qui
commencent dans quelques jours à peine. De notre côté, le Sablier présente
son dernier numéro avant le congé des fêtes. Le présent message vise à vous
informer sur la santé actuelle du journal. En tant que rédacteur en chef et
ayant un oeil sur tout ce qui concerne le Sablier, j’ai parfois tendance à
oublier qu’il en est tout autre pour la plupart d’entre vous. C’est
pourquoi je vous parlerai des derniers développements de façon commentée.
Je commencerai avec
le bilan financier du Sablier. Comme vous avez pu le constater, le Sablier
compte davantage de pages qu’auparavant. Pour vous situer, la plus imposante
parution l’an dernier comprenait 22 pages et cela fut exceptionnel. Cette année,
le Sablier a reçu un nombre accru d’articles, ce qui se traduit par une
augmentation considérable du volume. Et en aucun cas il ne fut question de
limiter le nombre de pages. La raison est simple, l’intérêt pour le Sablier
n’a jamais été aussi important depuis fort longtemps. Mais cela entraîne également
une augmentation des coûts de production. Dès le début du semestre, des inquiétudes
budgétaires sont apparues. Mais tout récemment, une première est survenue :
le département (distinction à faire avec A.É.H.U.M.), par l’entremise de
son directeur M.Claude Morin, a décidé d’appuyer financièrement le Sablier.
Le soutient s’opère par le paiement d’une parution par semestre, soit une
à l’automne et une autre à l’hiver. Je tiens donc, en tant que rédacteur
en chef et au nom de toute l’équipe du Sablier, à remercier très sincèrement
M. Claude Morin. Cette aide nous encourage à continuer dans la même voie et à
s’améliorer toujours plus.
À présent, je
souhaite m'entretenir sur un autre aspect. Comme plusieurs d’entre vous ont pu
le remarquer lors de la précédente parution, le Sablier comptait un nombre
considérable de fautes d’orthographes. Mais cela n’est pas la responsabilité
de nos correcteurs et correctrices, car la cause réside uniquement dans des
problèmes informatiques lors du montage. Je tenais, pour ainsi dire, à vous
faire part de nos difficultés techniques passées. Et bien entendu, nous
veillerons, dans les numéros à venir, à ce que cette situation ne survienne
plus.
Toujours dans le
domaine de l’informatique, mais plus positivement cette fois, je suis heureux
de vous annoncer que le projet du Sablier sur le web s’est enfin concrétisé.
Vous pouvez maintenant lire votre journal départemental sur Internet à
l’adresse inscrite en en-tête de la première page. L’élaboration de ce
projet fut la responsabilité de Daniel Lachapelle Lemire, René Fillion ainsi
que de Mélanie Chartrand (rédactrice adjointe). Je me dois de ne pas oublier
de signaler la collaboration de Christian Gagnon du Centre de documentation.
Avec sa présence sur le web, le Sablier se voit ouvrir les portes du monde
interuniversitaire. De la publicité pour le Sablier sera faite prochainement
dans tous les départements d’histoire des universités francophones du pays.
L’Europe suivra ensuite dans ces démarches. Alors, possiblement, dans les numéros
à venir, des étudiants (es) en histoire d’autres milieux universitaires écriront
des articles dans le Sablier ou y apporteront des commentaires. D’ici là,
Simon Fournier, rédacteur adjoint, veille à la diffusion de la publicité. Petit historique du Comité
de rédaction du Sablier
Pour terminer, j’aimerais vous rendre compte de l’évolution qu’a
connu le Comité de rédaction du Sablier depuis l’été dernier. Au départ,
nous n’étions que trois, soit Mélanie Chartrand et Patrick Laurin, chacun
occupant un poste d’adjoint (e), ainsi que moi-même dans ma fonction
actuelle. À ma différence, ceux-ci ne furent pas élus en assemblée générale,
ils entrèrent en fonction au début de la période estivale passée lorsque je
les nommai rédacteurs (trices) adjoint(e)s. À ce moment, leur rôle n’était
pas encore défini en toute mesure. Par conséquent, celui de rédacteur en chef
non plus, du moins, pas complètement. Il a donc fallu établir les champs
d’implication de chacun d’entre nous ainsi que des éventuels rédacteurs (trices)
adjoint(e)s, car selon la charte de l’A.É.H.U.M., il restait deux postes à
combler à cette instance, pour un total de quatre. C’est donc à trois que
nous avons établi les structures du Sablier pour l’année 2000-2001 (entourés
et conseillés par l’équipe du Sablier qui regroupe une dizaine de
journalistes). Au mois de septembre dernier, une assemblée générale a eu lieu
dans le but de combler certains postes de l’association étudiante, mais
aussi, il fallait y élire quatre postes d’adjoints à la rédaction du
Sablier. Mélanie Chartrand était candidate, mais non Patrick Laurin, du fait
qu’il commençait des études de deuxième cycle et la charte stipule que la
priorité va aux étudiants (es) de premier cycle. Donc, il est ressorti de
cette assemblée générale que les quatre postes de rédacteurs (trices)
adjoint(e)s disponibles furent comblés. Entre temps, une définition précise
des tâches que chacun et chacune aurait à accomplir avait été préparée. Le
poste de trésorier fut obtenu par Amélie Lavoie, étudiante en première année.
Celui des affaires internes le fut par Mélanie Chartrand, qui entâme en
janvier sa dernière année. Nathalie Villeneuve, première année, combla le
poste aux affaires externes et Simon Fournier, également en première année,
entra en fonction au poste des relations interuniversitaires. Quelques temps après
ces élections, un besoin d’avoir un (e) rédacteur (trice) supplémentaire
surgissait. Ce poste visait à assurer spécifiquement le financement du
Sablier. Donc, lors de l’assemblée générale suivante, fut votée à
l’unanimité la création d’un cinquième poste à la rédaction. Cependant
ce dernier, au moment d’écrire ces lignes, n’était toujours pas comblé.
Mais de façon générale, les tâches de chacun des rédacteurs (trices)
adjoint(e)s sont à présent clairement définies, ce qui n’était pas le cas
dans les années passées où l’on ne mentionnait que l’existence de quatre
postes à ce niveau. C’est ainsi que le Comité de rédaction du Sablier a évolué
depuis les derniers mois. Chacun de nous est en fonction jusqu’au mois
d’avril prochain. Après, de nouvelles élections décideront des futurs
membres. Alors sur ce, chers (ères) collègues, bons examens de fin de semestre et si vous avez des questions ou des commentaires sur le Sablier, n’hésitez pas à nous en parler, soit par Internet à: le_sablier@hotmail.com ou en venant nous rencontrer au local de l’A.É.H.U.M. (C-6137) sur les heures de dîner en semaine. |